Notre campagne “Un savoir gratuit pour tous” vise à mettre fin à l’analphabétisme dans le monde. Nous pensons que chacun devrait avoir le plus large accès possible à la connaissance grâce aux technologies numériques modernes.

Selon l’Organisation des Nations Unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), environ 750 millions de personnes dans le monde ne savent toujours pas lire ni écrire. L’analphabétisme est particulièrement répandu en Afrique subsaharienne, où plus de 250 millions d’enfants n’ont actuellement même pas accès à l’école.

Sans savoir lire et ni écrire, l’accès d’une personne à la connaissance est très limité. Cela a des répercussions non seulement sur leurs revenus et le type de travail qu’ils peuvent faire, mais aussi sur leur santé et leur durée de vie. Les études montrent un lien évident entre le niveau d’éducation et l’espérance de vie.

En fait, l’ensemble de notre projet

Le projet “Movement of life” concerne l’éducation. Nous pensons que l’éducation est un droit de l’homme et qu’il devrait être offert gratuitement à tous. Sans accès universel à la connaissance et à l’éducation la plus large possible, la véritable liberté d’expression n’existe pas. Ce que nous ne connaissons pas, nous ne pouvons pas le penser ou en parler.

Alors que l’éducation est déjà dispensée gratuitement aux citoyens dans certains pays, les informations de base sur des sujets clés tels que les approches de santé naturelles fondées sur la science continuent d’être refusées. Même la plupart des écoles de médecine ne dispensent que peu ou pas de formation en nutrition, par exemple. Par conséquent, les médecins ne savent pratiquement rien des milliers d’études qui démontrent la sécurité et l’efficacité de la médecine nutritionnelle et cellulaire. Les seuls bénéficiaires de cette rétention de connaissances sont l’industrie pharmaceutique, qui génère des milliards de dollars par an, et ses investisseurs.

L’image en haut de cette page illustre une partie du travail que nous faisons pour faire de la connaissance libre pour tous une réalité. Dans le cadre d’un projet que nous menons dans des écoles en Ouganda, les enfants apprennent la Médecine Cellulaire et découvrent comment les carences en vitamines, minéraux et autres micronutriments sont la principale cause des maladies chroniques les plus courantes aujourd’hui. Les enfants apprennent également comment les fruits et les légumes sont de bonnes sources de ces micronutriments essentiels. Mettant la théorie en pratique, ils cultivent ensuite les fruits et légumes qu’ils ont appris dans le jardin de l’école.

Le projet en Ouganda illustre donc bien l’interdépendance de nos campagnes. La santé pour tous n’est possible que si la nourriture pour tous et la connaissance pour tous deviennent une réalité.